Rabat-Salé-Kénitra: plus de 1,5 MMDH d’investissements engagés en 2016-2017

Les investissements ont porté sur les secteurs relatifs à l’électricité, l’eau, les routes, l’enseignement, la santé et le socio-culturel.

La valeur des investissements engagés dans la région Rabat-Salé-Kénitra au titre des années 2016 et 2017, s’élève à 1,52 MMDH, selon un rapport élaboré par l’Agence régionale d’exécution des projets.

Ces investissements, qui concernent les préfectures et les provinces de Rabat, Salé, Khémisset, Kénitra, Sidi Slimane, Sidi Kacem et Skhirat-Témara, ont porté notamment sur les secteurs relatifs à l’électricité, l’eau, les routes, l’enseignement, la santé et le socio-culturel, indique le rapport présenté, vendredi à Rabat, lors d’une rencontre de coordination entre le wali de la région Rabat-Salé-Kénitra, Mohamed Mhidia, le président du Conseil de la région, Abdessamad Sekkal et les gouverneurs et présidents des conseils provinciaux et préfectoraux concernés.

Selon le rapport, la province de Khémisset s’est accaparée la plus grande part de ces investissements avec un taux de 28%, suivie de Kénitra (24%), Sidi Kacem (16%), Salé (12%), Sidi Slimane (10%), Skhirat-Témara (8%) et Rabat (4%).

Concernant le programme de l’Agence 2016-2018, il comprend le programme de lutte contre les disparités spatiales dans le monde rural, le programme de mise à niveau des établissements scolaires, le programme de mise à niveau et d’équipement des centres de santé, la promotion des zones industrielles et des marchés et la construction des centres de protection sociale.

S’agissant du programme relatif aux routes et pistes, l’enveloppe globale a atteint 342 MDH, contre 26 MDH consacrés au secteur de l’enseignement, 12 MDH à la construction et la restauration des sanitaires aux écoles et 5 MDH pour les écoles communautaires.

Quant au domaine de la santé, un budget de 7 MDH a été dédié à l’équipement des centres de santé. Alors que dans le secteur du développement économique, une enveloppe de 18,5 MDH a été allouée à la promotion des marchés.

Par ailleurs, le rapport a levé le voile sur les contraintes entravant certains projets, notamment le retard dans l’exécution, la problématique du coût estimatif, le manque d’interaction des partenaires pour l’homologation des études préliminaires et la difficulté de parvenir à un consensus entre les différentes parties.

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