« Green Tech Valley »: L’intelligence et l’efficience énergétiques ont ouvert la voie à un partenariat d’exception

L’intelligence et l’efficience énergétiques ainsi que la responsabilité sociale de la « Green Tech Valley » ont été pour beaucoup dans la décision du Fonds arabe de développement économique et social (FADES) de participer au capital de la Société marocaine immobilière (SMI), filiale de Marita Group.

La société marocaine Marita immobilière est chargée de la réalisation du la cité verte « Green Tech Valley » sur la rive nord du fleuve Bouregreg. Dans une déclaration à la MAP, ce mardi, en marge de la signature de la convention de participation du FADES dans le capital de la SMI, Boughout a relevé que le partenariat scellé entre ces deux institutions revêt une grande importance pour ce qui est « du développement social auquel contribue le secteur privé dans ce projet pilote ».

Ce qui a permis à ce projet de retenir l’attention de partenaires aussi prestigieux que le FADES c’est bel et bien ses intelligents bâtiments et dépendances, son efficience énergétique, son apport au développement durable et à la création des opportunités d’emploi outre son « ouverture sur des partenaires internationaux selon des standards garantissant la commercialisation et la durabilité ».

La « Green Tech Valley », réalisée sur une superficie de 3,5 hectares, dont 150.000 m2 de construits, fait partie des principaux plans et chantiers prévus par le projet d’aménagement de la vallée du Bouregreg de même qu’il s’inscrit en droite ligne de la vision clairvoyante de SM le Roi Mohammed VI visant à faire de la ville de Rabat une capitale des lumières et des cultures, a-t-il ajouté. De son côté, Bandar Hajjar, président du Groupe de la Banque islamique de développement (BID) a souligné, dans une déclaration similaire, que ce projet se caractérise par sa conformité aux normes environnementales et son recours aux énergies renouvelables, affirmant que cela va de pair avec la stratégie de la BID.

Il a, en outre, mis en avant, l’importance pour la Banque d’encourager de tels projets amis de l’environnement et qui font appel aux dernières évolutions technologiques dans le monde, disant souhaiter que le Maroc puisse tirer profit de cet important chantier pour qu’il soit un modèle à suivre au titre des prochains partenariats qui pourraient se conclure avec les pays membres de la BID.

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