Pour la troisième fois, le groupe Radiotélévision espagnole (RTVE, publique) a représenté le Sahara dans les frontières du Maroc confirmant la réalité administrative, économique et politique d’un territoire pleinement intégré au royaume. Cette reconnaissance est intervenue à travers la présentation de la ville de Dakhla comme destination touristique marocaine.
Selon les observateurs, «la télévision espagnole a présenté Dakhla comme partie du Maroc, sans distinction ni réserve, soulignant la souveraineté effective exercée par Rabat sur cette région depuis près d’un demi-siècle.» Ils rappellent que «Dakhla, devenue aujourd’hui un pôle touristique et sportif d’envergure internationale, symbolise la transformation profonde et pacifique du sud marocain depuis son retour à la mère patrie.»
Un reportage consacrant l’essor touristique et sportif de Dakhla
L’émission Aquí la Tierra, diffusée le vendredi 17 octobre sur la chaîne publique, a mis en lumière la renommée internationale de Dakhla dans le domaine du sport nautique. Son directeur et présentateur, Jacob Pétrus, a décrit l’événement en ces termes : «Les meilleurs kitesurfers du monde affrontent la majestueuse côte marocaine à Dakhla, lors de la Coupe du monde GKA de kite-surf.»
Les images diffusées montraient les plages de Dakhla et ses infrastructures modernes, «rotulées comme appartenant au Maroc», confirmant de facto l’intégration institutionnelle de la ville. Les commentateurs y voient une reconnaissance réelle et significative de la stabilité et du développement dont bénéficie la région grâce à l’action des autorités marocaines.
Un reflet de la réalité sur le terrain
Ce traitement médiatique, loin des anciennes ambiguïtés, traduit une évolution du regard européen sur la question saharienne. Pour de nombreux observateurs, «les faits sur le terrain parlent d’eux-mêmes : Dakhla et Laâyoune sont marocaines, administrées, sécurisées et développées par le Maroc».
La présentation de Dakhla comme destination touristique du royaume illustre la normalisation d’une vérité longtemps établie : celle d’un Sahara pleinement marocain, ouvert sur le monde et tourné vers l’avenir.
